Thèmes :
10 questions sur l'avenir du charbon par Gilbert Ruelle,
Quels sont les usages principaux du Charbon ? Pourquoi le
charbon a-t-il si mauvaise réputation ?
Dans quelle mesure les défauts du
charbon peuvent-ils être réduits par la technologie en 2020, 2040
et 2060 ?
Quelles sont les chances de séquestrer le CO2 ?
(Document 17 pages)
Rapport rédigé en 2006 par le Groupe de travail
du délégué interministériel au développement durable
(document 117 pages)
voir principalement pages 31à 34 l'impact du charbon sur l'environnement
pages 36 à 45 les différents procédés des centrales
pages 44 à 56 le captage et stockage du CO2
Le Charbon, quel avenir ?
Cette ressource fossile abondante et bien répartie
sur la planète est malheureusement la plus
polluante dans ses diverses
utilisations, particulièrement dans les petits foyers de chauffage, et
les préoccupations
récentes mais de plus en plus fortes, relatives à l'incidence des émissions
de
gaz à effet de serre sur la dérive climatique, conduiront bien avant la fin
du siècle actuel à
trouver des solutions techniques pour éviter, neutraliser
ou stocker ces émissions, si on veut
pouvoir continuer à exploiter cette
ressource.
Vous pouvez lire simplement le résumé en 16
pages
ou le document entier de 47 pages (contexte énergétique et environnemental de
la page 7 à la page 11 ainsi que la situation technologique 7 pages)
Voir également en annexe 1 les émissions de CO2 des différentes filières (1 page), le coût des systèmes de dépollution (1 page) et le captage et la séquestration du CO2 (2 pages)
Exploitation à ciel ouvert :
Effets sur l'environnement §2
Limitation des effets sur l'environnement §2.2
Secteur minier - Préparation et transport
§2 . Effets sur l'environnement et mesures de protection : dégagement de poussières et bruit
voir fin de §2.3 Séparation - Flottation, sur
les eaux météoriques et les eaux d'infiltration qui
s'écoulent des terrils...
Coal Bed Methane ou Méthane de Houille
Le gaz de charbon ou coalbed methane (CBM) désigne le méthane contenu dans les couches de charbon. Le méthane de houille est le gaz naturel qui se retrouve dans la plupart des couches de charbon. Il est considéré comme le combustible fossile dont la combustion est la plus propre et l’une des formes les plus pures de gaz naturel, souvent sous forme tellement pure qu’il n’exige qu’un léger traitement et qu’il peut être livré directement par gazoducs. Le méthane de houille est très prometteur pour le développement d'une source de carburant alternative. Des quantités très importantes de méthane se retrouvent piégées avec, pour un même volume de roche, une concentration 6 à 7 fois plus importante que dans les gisements de gaz conventionnel.
Pour en savoir plus :
http://waterquality.montana.edu/docs/methane.shtml
http://www.challengebibendum.com/challenge/front/affich.jsp?codeRubrique=55&lang=FR&newsID=13072&catCode=DOSSIERS
http://energy.usgs.gov/factsheets/Coalbed/coalmeth.html (en anglais)
La radioactivité naturelle technologiquement renforcée, rapport de l'association Robin des Bois de décembre 2005 suite à la demande de la Direction Générale de la Sûreté Nucléaire et de la Radioprotection (l'enquête a duré plus d'un an d'août 2004 à octobre 2005)
Toutes les substances minérales, végétales, animales y compris le corps humain contiennent des éléments-traces radioactifs. Quand les matériaux fossiles, y compris l’eau, sont extraits, exploités, et transformés, la position, l’équilibre et la disponibilité des radioactivités naturelles sont modifiés de telle sorte que l’environnement de surface, les populations humaines et animales, les ressources aquatiques superficielles et le compartiment atmosphérique sont surexposés par rapport à la situation originelle. Il s’agit alors de la radioactivité naturelle technologiquement renforcée.
Voir principalement
pages 124 à 129 : la filière internationale charbon
pages 133 à 139 : la filière française charbon - les cendres
Pour consulter le document format pdf 3 Mo
Pour consulter le document format pdf 3,9 Mo
"Une solide expertise technique existe déjà et le monde évolue avec confiance vers la phase de démonstration. Outre ces avancées techniques, les cadres législatifs, réglementaires, économiques et politiques sont en cours d 'élaboration, et la perception du public et son soutien sont évalués. En Europe, l'objectif est de lancer 12 projets de démonstration à grande échelle d'ici 2015 pour permettre un déploiement commercial avant 2020"
"Vous trouverez des explications sur la réalisation pratique du stockage géologique du CO2, sur les conditions préalables requises et sur les critères pour une mise en oeuvre sûre et efficace."
Voir pages 7 à 17
Pour consulter le document format pdf 1,2Mo
Une étude, commandée par le gouvernement fédéral allemand, considère que le piégeage et le stockage du carbone émettent dix à quarante fois plus de gaz à effet de serre que les énergies renouvelables, comme le solaire et l’éolien, et qu’ils n’offrent aucune garantie contre la hausse du coût des combustibles fossiles, d’après le Dr. Mae-Wan Ho
Consulter le document format pdf 1,16 Mo
Numéro 17 : Le stockage de CO2 - Evaluation du potentiel de capture et de stockage géologique de CO2 dans le monde - Les réductions potentielles d'émissions de CO2 par des plantations forestières sur des terres agricoles dans le monde à l'horizon 2050.
Pour lire le document format pdf 2,9 Mo
Diaporama sur L'acceptabilité sociale du captage et du stockage du CO2 par Minh Ha-Duong
Pour voir le diaporama format pdf 673 Ko
Afin de diminuer les émissions de CO2 des grosses unités industrielles consommatrices d’énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), le principe de capter le CO2 lors de la combustion puis de le séquestrer en sous-sol est de plus en plus mis en avant par les acteurs du secteur.
Greenpeace vient de publier le 5 mai un rapport intitulé : « Faux Espoir : Pourquoi le captage et la séquestration du carbone ne sauveront pas le climat » qui dénonce les dangers de ce nouvel engouement.
Le premier argument mis en avant est le délai
trop long de mise en place de cette technologie. D’après le rapport, la
capture et la séquestration du CO2 (CSC) ne seront pas disponibles à une échelle
suffisante avant 2030, or de plus en plus d’études fixent à 2015 la date à
partir de laquelle les émissions mondiales de gaz à effet de serre doivent impérativement
commencer à décroître.
Le deuxième argument est le côté « énergivore » du CSC. Pour les centrales
électriques, cette technologie consomme 10 à 40 % de l’énergie produite.
D’après Greenpeace, la mise en place à grande échelle « risquerait
d’annuler les gains d'efficacité des cinquante dernières années et
augmenter d’un tiers la consommation des ressources ». En particulier, selon
l’emplacement des centrales, le CO2 capturé doit être transporté pour être
séquestré. Le transport peut s’effectuer soit via des gazoducs, technologie
identique à celle utilisée pour le transport du gaz naturel, soit sous forme
liquide dans des citernes isothermes. Dans le cas des citernes, les modes de
transport sont alors très classiques : camion, train et bateau. Si l’on
ajoute à ce coût énergétique les coûts d’investissement et de
fonctionnement, on peut aboutir à une augmentation du prix final de l’électricité
de 21 à 91 %.
Pour en savoir plus :
Synthèse du rapport en français Format pdf 159 Ko
Rapport complet en anglais Format pdf 1,9 Mo
Colloque des 8 et 9 Mars 2007 - Le Havre
La Ville du Havre et le Délégué interministériel au développement durable ont organisé un colloque international les 8 et 9 mars 2007, au Havre. Durant une journée et demie de débats, les différentes parties ont exprimé leurs points de vue sur un champ large de préoccupations : développement technologique, écoconception, conditions de déploiement, de compétitivité et de respect de l’environnement, place de l’efficacité énergétique, concept de Centrale "prête au captage de CO2", insertion dans les territoires, acceptabilité, disponibilité, régulation et gouvernance.
Participants : l’ADEME, l’Agence Internationale de l’Energie, Air Liquide, ALSTOM, ANR-NTE, ATIC SERVICES, ATH, Auxilia, BRGM, CGGVeritas, Conseil général des Mines, Conseil général de la Nièvre, Conseil mondial de l’Energie, Conseil national du développement durable, DALKIA, Direction de la prévention des pollutions et des risques, DROIT A L’ENERGIE, EdF, ENDESA FRANCE, EURACOAL, GE ENERGY, IFP, INERIS, Institut de Physique du Globe de Paris, Mines Paris, Port autonome du Havre, POWEO, Schlumberger, SEREN, SIEMENS, SUEZ, TOTAL, VALORCA
Sommaire :
Energie Climat Carbone | |
Economie charbon | |
Les centrales propres | |
Les technologies du transport et du stockage du CO2 | |
Acteurs, aménagements et territoires |
Pour voir les diaporamas des différents intervenants
voir principalement pages 18 et 19
Colloque "Charbon et développement durable" à Grenoble le
jeudi 18 mai 2006
par A. Tristan Mocilnikar, Conseiller expert dans l’économie des filières
énergétiques auprès du
Délégué Interministériel au Développement Durable (48 pages en anglais)
Voir les différentes technologies pour capturer le CO2 page 31
Colloque
"Charbon & Captage et stockage de CO2 dans le bouquet énergétique"
à Dornes le mardi 12
décembre 2006 par Antoine Tristan Mocilnikar (72 pages)
Evolution des prix - Le réchauffement
climatique - Capture et stockage du CO2 obligatoires si on veut
recourir au charbon - Différentes procédures de captage du CO2
Capture et Stockage du CO2, (14 pages)
Pertes énergétiques liées à la capture de CO2 page 4
Surcoût de la capture du CO2 page 5
Coût du transport du CO2 page 6
Coûts actuels du KWh avec capture et stockage du CO2 page 7
Les échéances d'ici 2020 page 13
Rapport de l'assemblée Nationale du 15 mars 2006
Les nouvelles technologies de l'énergie et la séquestration du dioxyde de carbone : aspects scientifiques et techniques
Le captage, le transport et le stockage géologique de CO2
Rapport Bersani du 5 avril 2006
Cadre
juridique des stockages souterrains de CO2 (81 pages), par François Bersani,
ingénieur général
des Mines :
le CO2 et son captage
la qualification de déchets
le stockage souterrain
voir
principalement les effets sur l'environnement §2 avec les
différentes mesures de protection pour réduire les rejets
Rapport du BRGM de juillet 2004 (96 pages) :
impacts sur l'air page 18 et suivantes
impacts sur l'eau page 38 et suivantes
Plan régional Santé Environnement
édité pour la Bourgogne en 2006
Les risques sanitaires liés à l'environnement
voir
principalement pages 25 à 35 l'état des lieux et les enjeux en santé
environnementale
et pages 59 à 63
L’adoption définitive de la Charte de
l’environnement constitue une étape historique pour la prise en
compte de
l’écologie et du développement durable.
La Charte de l’environnement transcrit dans notre édifice juridique les leçons
forgées au cours de ces
dernières décennies. Elle place le droit de vivre
dans un environnement équilibré et respectueux de la santé
au même rang que
les droits de l’homme et les droits sociaux. Elle inclut un énoncé du
principe de
précaution qui permet de se prémunir contre les risques sans
remettre en cause la possibilité d’innover.
Pour Serge Lepeltier, ministre de l'écologie et du développement durable,
« il faut saluer cette étape
historique où le Droit à un environnement
sain et équilibré est mis au même niveau que les Droits de
l’Homme et les
droits sociaux. C’est un grand pas pour l’écologie. Il s’agit là d’une
avancée décisive pour
notre avenir, ainsi que pour celui de nos enfants et
petits-enfants. »
Affiche de la Charte de l'environnement
Facteur 4
Le 8 septembre 2005, la Ministre de l’Ecologie et du développement durable,
Nelly Olin et le Ministre délégué à l’Industrie, François Loos, ont
installé un groupe de travail sur la « division par quatre des émissions de
gaz à effet de serre de la France à l’horizon 2050 ».
La
présentation du groupe de travail
Le rapport de ce Groupe de Travail "Division par quatre des émissions des gaz à effet de serre de la France à l'horizon 2050" a été rendu en Août 2006 (77 pages)
Le
rapport final : c'est ce qu'il faut lire
Voir
pages 10 et 11
et les différentes recommandations pages 49 à 57
Accès aux diaporama, discours de clôture, communiqué de presse et différentes réunions
La qualité de l'air : Directive sur l'air par le Conseil de l'Union Européenne du 23/10/2006 (en anglais)
voir pages 7 et 8, les dispositions concernant les particules fines PM2.5
Philippe Richert, sénateur et vice-président du Conseil national de l'air, a été chargé par le Premier ministre de dresser un bilan de l'application de la loi du 30 décembre 1996 sur l'Air et l'Utilisation Rationnelle de l'Energie (LAURE), d'évaluer la politique mise en oeuvre par les différents acteurs concernés afin de réduire la pollution atmosphérique, notamment le "plan air" adopté en 2003 et le plan national santé environnement adopté en 2004. Il devait proposer, le cas échéant, des pistes d'amélioration de cette politique, en lien avec les politiques de préservation de la biodiversité et de lutte contre le changement climatique.
"La qualité de l’air doit rester aux côtés du changement climatique une préoccupation majeure de l’environnement atmosphérique.
Ainsi, même si les émissions des polluants historiques baissent, l’impact sanitaire reste préoccupant et l’on peut citer le développement accru de maladies respiratoires comme l’asthme, les allergies ou encore la bronchiolite. Pour éviter une catastrophe climatique, les experts estiment qu’à l’horizon 2050 les émissions annuelles mondiales de CO2 ne doivent pas dépasser 0,6 tonnes de carbone par habitant et par an, ce qui pour la France revient à une division par quatre de ses émissions actuelles.
Il convient de se préoccuper dès aujourd’hui de l’avenir de l’atmosphère sur le long terme autant pour le changement climatique que pour la pollution de l’air."
Pour consulter le rapport (rapport de 120 pages)
Le radon est un gaz radioactif d’origine naturelle présent sur l’ensemble de la surface terrestre. Il provient surtout des sous-sols granitiques ou volcaniques ainsi que de certains matériaux de construction.
Les études épidémiologiques menées chez les mineurs de fond ont clairement montré des excès statistiquement significatifs de mortalité par cancer du poumon après exposition prolongée au radon. De fait, le Centre international de recherche sur le cancer a classé le radon comme cancérigène pulmonaire certain chez l’homme (groupe 1)
L’arrêté du 22 juillet 2004 relatif aux modalités de gestion du risque lié au radon dans les certaines catégories d’établissements ouverts au public1 précise notamment la liste des 31 départements prioritaires. Les mesures de radon y sont rendues obligatoires. Tous ces départements ont lancé les mesures demandées.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) du ministère de la santé a consacré un numéro d’«Etudes et résultats» à l’état de santé de la population en France et au suivi des objectifs de la loi de santé publique. Dans un paragraphe intitulé «Environnement, un enjeu de santé publique majeur», les auteurs précisent qu’en 2000, 32.000 décès étaient attribuables «à une exposition de long terme à la pollution atmosphérique urbaine dont plus de la moitié seraient causés par la pollution automobile». De plus, 60.000 à 190.000 crises d’asthme et 110.000 bronchites seraient chaque année liées à la pollution de l’air.
Concernant les habitations, deux gaz toxiques sont surveillés : le radon, dont l’exposition entraînerait 13% des décès par cancer du poumon, et le monoxyde de carbone, dont les décès constituent la première cause de mortalité par inhalation toxique en France
Pour consulter ce numéro de février 2008
L'état de santé de la population en France
Cet ouvrage fournit en 2007 une vision d’ensemble de l’état de santé de la population en France. Il constitue le second rapport de suivi des objectifs associés à la loi relative à la politique de santé publique du 9 août 2004, après une première édition en 2006. (Ouvrage en vente à la Documentation Française)
Chapitre 19 : Exposition au radon dans les bâtiments publics
Changements climatiques : quels impacts en France ?
Le réchauffement global est une réalité. La température globale de l'air en surface est de 0,75°C plus chaude qu'au début du 20ème siècle. Neuf des dix dernières années (1994-2004) sont parmi les années les plus chaudes que le globe ait connu au cours des 145 années d'enregistrements instrumentaux et, que l'hémisphère Nord ait connu au cours des 1000 dernières années.
Les changements observés de la température de surface sont cohérents avec d'autres changements dans le sens du réchauffement, comme l'augmentation de la température de la surface de la mer, la réduction de la couverture neigeuse, le raccourcissement des saisons de gel, le retrait des glaciers et de la glace de mer, l'augmentation de la température des océans, l'élévation globale du niveau de la mer, et l'augmentation de la température et de la vapeur d'eau des couches supérieures de l'atmosphère. Des changements dans la circulation atmosphérique amplifient ces changements dans certaines régions ou les réduisent, parfois jusqu'à les contrer, dans d'autres.
Synthèse de ce rapport (16 pages)
Plan climat 2004
Face au changement climatique, agissons ensemble
Serge Lepeltier, ministre de l'écologie et du développement durable :
"Le changement climatique
nous concerne désormais tous, nous Français, mais aussi tous les citoyens
de
la planète.
Aujourd'hui, il est impossible de nier le constat qui est reconnu par l’ensemble
de la communauté
scientifique : les émissions récentes et actuelles de gaz à
effet de serre, principalement de gaz carbonique,
produites par les activités
humaines sont en train de modifier le climat de la planète. Les conséquences
d’un
abandon aux tendances actuelles seraient désastreuses pour l’humanité."
La répartition de la température au niveau du sol dépend de la quantité de gaz à effet de serre (GES) présents dans l'atmosphère. Sans eux, la température moyenne serait de - 18°C et la terre serait inhabitable. Leur présence amène cette température à 15°C.
Les gaz responsables de l'effet de serre sont principalement le gaz carbonique (CO2 et le méthane (CH4). Du fait de l'activité humaine, la concentration de ces gaz dans l'atmosphère s'est sensiblement modifiée : ainsi, la concentration en C02, principal GES, a augmenté de 30% depuis l'ère préindustrielle. Les effets combinés de tous les GES équivalent aujourd'hui à une augmentation de 50% de CO2 depuis cette période.
Voir à ce sujet le site de la Mission Interministérielle de l'Effet de Serre
Loi sur l'eau et les milieux aquatiques
Cette loi a deux objectifs fondamentaux :
Donner les outils à l’administration, aux collectivités territoriales et aux acteurs de l’eau en général pour reconquérir la qualité des eaux et atteindre en 2015 les objectifs de bon état écologique fixés par la directive cadre européenne et retrouver une meilleure adéquation entre ressources en eau et besoins dans une perspective de développement durable des activités économiques utilisatrices d’eau et en favorisant le dialogue au plus près du terrain ; | |
Donner aux collectivités territoriales les moyens
d’adapter les services publics d’eau potable et d’assainissement aux
nouveaux enjeux en terme de transparence vis à vis des usagers, de
solidarité en faveur des plus démunis et d’efficacité environnementale. Parallèlement cette loi permet d’atteindre d’autres objectifs et notamment moderniser l’organisation des structures fédératives de la pêche en eau douce. |
Voir le texte de loi : texte adopté le 30/12/2006 et/ou l'Etude d'impact Projet de loi
Rapport Bataille - Birraux sur l’Évaluation de la stratégie nationale de recherche en matière d’énergie - mars 2009
Les rapporteurs ont observé que le manque de détermination dans l’affirmation d’orientations s’accompagnait d’une insuffisance institutionnelle dans le pilotage de la recherche. Les analyses des rapporteurs relatives aux priorités de recherche qui devraient être retenues s’appuient sur les options déjà retenues à la suite du « Débat national sur les énergies » de janvier 2003, et sur les apports du Grenelle de l’environnement.
« Le soutien public accordé à l’effort technologique doit être ajusté pour éviter d’encourager par contrecoup une nouvelle expansion des énergies carbonées en France. En particulier, l’installation des équipements de CSC ne doit pas être subventionnée ». page 120
Consulter le rapport Format pdf (385 pages) 2,6 Mo
Perspectives énergétiques de la France horizon 2020-2050 - Rapport de la commission Energie présidée par Jean SYROTA (Février 2008)
Ce rapport retrace les principes et hypothèses qui forment le socle de la réflexion et des convictions de la commission. Il se conclut par un certain nombre de propositions susceptibles d’inspirer les actions à engager immédiatement ou dans un proche avenir, tant au plan intérieur qu’au plan communautaire, ainsi que par des recommandations de politique publique à plus long terme. Ce rapport de synthèse comporte des annexes correspondant à des thèmes d’approfondissement ;
Consulter le rapport Format pdf 2,4 Mo
Sécurité énergétique et Union européenne : propositions pour la présidence française. Rapport élaboré par M. Claude Mandil et livré au Premier Ministre le 21 avril 2008. L'objet principal du rapport est la sécurité des approvisionnements en énergie, l'auteur souligne "qu'une politique énergétique doit poursuivre trois objectifs principaux : outre la sécurité, la lutte contre le changement climatique et la croissance économique ".
Consulter le rapport. Format pdf, 396 Ko
Conjoncture énergétique - Mars 2008
Consulter le rapport Format pdf 258 Ko
Prospective énergétique : le scénario énergétique de référence à caractère tendanciel à l'horizon 2030 pour la France. Document présentant la synthèse des résultats et des hypothèses permettant de comprendre les caractéristiques et les principaux déterminants de la situation énergétique française aux horizons 2020-2030. DGEMP, avril 2008.
Format pdf 173 Ko
3ème rencontre des Économies majeures Énergie-Climat (Major Economies Meeting III) :
Réduire les émissions de gaz à effet de serre est un des défis majeurs qui nous est posé. Voilà pourquoi des cycles de négociations pour parvenir, d’ici 2009, à un nouvel accord ambitieux visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à enrayer le réchauffement climatique occupent le devant de la scène internationale .
La Rencontre des économies majeures Energie-Climat est, dans ce contexte, une occasion utile de faire progresser les efforts internationaux de lutte contre les changements climatiques.
La troisième édition afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre s'est tenue à Paris les 17 et 18 avril 2008. Les discussions des 16 pays qui participent à cette rencontre et qui totalisent environ 80% des émissions mondiales de CO2 contribueront à l’objectif de parvenir à un accord multilatéral sur le climat au delà de 2012.
Consulter le dossier de presse et le programme prévisionnel du MEM (format PDF - 273.9 ko). 15 avril 2008.
Révolution énergétique : rapport de janvier 2007 publié par Greenpeace et EREC
Les changements climatiques planétaires, provoqués par l’accumulation constante de gaz à effet de serre dans l’atmosphère de la Terre, ont déjà commencé à perturber les écosystèmes et causent déjà environ 150 000 décès supplémentaires par an. Une élévation moyenne de la température planétaire de 2°C fait peser sur des millions de personnes une menace accrue de famines, d’épidémies de paludisme, d’inondations et de pénuries d’eau. Si nous voulons maintenir la hausse des températures dans des limites tolérables, nous devons considérablement réduire nos émissions de gaz à effet de serre. C’est raisonnable aussi bien d’un point de vue environnemental qu’économique. Le principal gaz à effet de serre est le dioxyde de carbone (CO2) produit par l’utilisation de combustibles fossiles pour les transports et la production d’énergie.
Synthèse du rapport (24 pages)
Perspectives des technologies de l'énergie (Scénarios et stratégies à l'horizon 2050)
Rapport 2006 - Publication de l'Agence Internationale de l'Energie (AIE)
Schéma de développement du Réseau public de Transport d'électricité pour 2006 - 2020
voir principalement les cartes présentant les lignes Haute Tension dans la Nièvre pages 54 à 57
et pages 77 à 79 pour la procédure de création de lignes HT, avec déclaration d'utilité publique et enquête publique
Statistiques de l'énergie électrique en France en 2005 (30 pages - document pdf)
Statistiques détaillées relatives aux flux d'électricité en France, au marché de l'électricité et à l'équipement. Données régionales / Consommation par secteur d'activité ...
En France, la consommation intérieure nationale d'électricité a atteint 483 210 GWh en 2005. La production d'électricité atteint elle 550 129 GWh pour la même année. Soit un solde excédentaire.
Au 31/12/2005, les différentes installations de production d'électricité étaient les suivantes :
Nucléaire 63 260 MW | |
Thermique 25 354 MW | |
Hydraulique 25 451 MW | |
Energies renouvelables 1 679 MW |
Le bilan prévisionnel consiste :
- à établir des prévisions de consommation
intérieure d'électricité et d'échanges entre la France et les autres pays,
éléments constituant la demande totale d'électricité;
- à confronter ces prévisions de demande aux perspectives connues d'évolution
des parcs de production ;
- à évaluer ainsi les besoins en nouvelles capacités de production aux différentes
échéances pour garantir un niveau défini de sécurité d'approvisionnement.
Pour consulter le bilan prévisionnel établi
en 2005, cliquer
ici
Note
d'actualisation établie en juin 2006
Statistiques de l'énergie électrique en France en 2006 ( Ko - document pdf)
Rapport
Pluriannuel des Investissements de Production électrique - période 2005-2015
rapport de 105 pages du 9/6/2006
Suite au premier rapport PPI publié en 2002 et à l'arrêté du 7 mars 2003, un nouvel exercice PPI a été réalisé. Il a été préparé par un groupe de travail présidé par Jean-Pierre Falque-Pierrotin, haut fonctionnaire du ministère de l'économie, des finances et de l'industrie. Le secrétariat du groupe de travail a été assuré par la Direction de la demande et des marchés énergétiques (DIDEME). L'horizon retenu pour cet exercice PPI est 2015
La loi de programme fixant les orientations de la politique
énergétique reprend l’objectif de 21% de consommation électrique d’origine
renouvelable.
Pour le choix des moyens de semi-base supplémentaires, la PPI préconise le
recours à des cycles combinés à gaz, justifiés par rapport à des centrales
charbon notamment du point de vue environnemental.
La PPI 2006 préconise le recours à des cycles combinés à gaz
pour les moyens de semi-base à mettre en service d’ici 2015 en raison de la
compétitivité environnementale des cycles combinés à gaz par rapport aux
centrales charbon « propre » : un
cycle combiné à gaz émet environ deux fois moins de CO2
/ kWh
qu’une centrale charbon et est
également avantageux du point de vue des émissions d’oxyde de soufre et de
poussières. (voir page 76)
Voir également pages 95 à 97 concernant les émissions de CO2
Synthèse de ce rapport Diaporama présentant ce rapport (Conférence de presse de François Loos le 10/7/2006)
Tarifs d'achat de l'électricité : voir http://www.industrie.gouv.fr/energie/electric/f1e_elec.htm
ADENCA Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours : Captage et Stockage de CO2 à Claye-Souilly
Coteaux de Jurançon Environnement : Enfouissement de CO2 dans les Pyrénées-Atlantiques (Rousse - projet Total)
Associations solidaires de l'Yonne : Site inter-associatif, coopératif, gratuit - captage et stockage de CO2
2CN2C : Collectif contre les nouvelles centrales au charbon (Le Havre)
EPLH : Ecologie pour le Havre
C'est Cousteau qui mange son bonnet : à force d'absorber du CO2, son bel océan tourne au vinaigre. Coraux, plancton et même poissons sont menacés... Et si un jour, la mer devenait trop acide pour s'y baigner ?
Voir l'article du Point du 26/10/2006 : Pollution - Acidités océaniques
Article du Monde du 12 Avril 2008 : La Terre pourrait déjà avoir dépassé le seuil dangereux de CO2
Décret n° 95-427 du 19 avril 1995